En vidéo – Les réseaux au Parlement du Féminin

Au fil de nombreuses rencontres et réunions de travail, le Parlement du Féminin a été co-construit avec plus de 50 réseaux féminins ou mixtes. Retrouvez ici les représentants, interviewé.e.s face caméra pour le Parlement, dans l’Opéra Comique.
Vidéos réalisées par Les Nanas d’Paname
Hervé de Belloy, auteur : « Les hommes doivent arrêter de vouloir conserver toutes les places. »
Eve Berger, coach : « Le modèle basé sur un masculin dominant arrive à bout de souffle. »
Clémentine Sassolas, de Sparknews : « La première clef, c’est le dialogue entre femmes et hommes. »
Coryne Nicq, d’Entrepreneurs d’Avenir : « Il est indispensable d’aller vers une économie plus humaine et plus responsable. »
Emmanuelle Jardat, de WHAT : « Hélas, il y a encore très peu de femmes dans le numérique. »
Dominique Guizien, de WECF France : « En matière d’égalité Femmes Hommes, les médias ont un rôle essentiel à jouer »
Fondé en 1994 dans la dynamique du premier Sommet de la Terre de Rio, c est un réseau de 150 organisations féminines et environnementales, qui agit pour construire avec les femmes un monde juste, sain et durable.
Catherine Bonneville-Morawski, du Club Comelles : « Il faut rendre visible les déséquilibres »
Sous l’impulsion de la fondatrice Catherine Bonneville-Morawski, Comelles, réseau solide et solidaire, est devenu un laboratoire d’idées, un lieu d’échanges et d’apprentissage partagés.
Lucile Desjonquères, de l’International Women’s Forum (IWF) : « Il est impensable de se passer de 50% de la population, dans un sens comme dans un autre. »
Présidente de International Women’s Forum France et co-fondatrice du cabinet Leyders Associates, Lucile Desjonquères promeut activement l’efficience de la mixité dans les instances décisionnaires. IWFF s’appuie sur un réseau diversifié de femmes influentes.
Minetou Ndiaye, de Energies Femmes : « L’égalité hommes femmes passe d’abord par l’application des lois. »
Energie Femmes est le réseau des professionnelles débordantes d’ambition et d’énergie qui veulent faire bouger les choses et prendre leur carrière en main. Il s’adresse à toutes les personnes sensibles aux problématiques de la mixité, la diversité ou encore du plafond de verre et qui souhaitent faire bouger les choses et agir de façon efficace.
Annie Beulin-Weber de Femmes 3000 : « Ce qui bloque chez les femmes, c’est la peur d’échouer. »
« Il ne faut pas lâcher, il faut être vigilant. Il y a beaucoup à faire. Le Parlement du Féminin permet d’autres ouvertures, d’autres rencontres, dont j’attends beaucoup », nous explique Annie Beulin-Weber, présidente de Femmes 3000 depuis 2014.
Mathilde Sidibé de Axielles : « Il faut changer les mentalités, en travaillant sur les stéréotypes, en impliquant les professionnels de l’éducation; puisque l’éducation est un facteur majeur de l’ambition féminine. »
Entreprise à taille humaine, Axielles a pour vocation de faciliter le networking professionnel à travers le partage de bons plans professionnels. Axielles a notamment développer un espace Women In Business, permettant de développer, d’optimiser et d’échanger au quotidien des « Trucs et Astuces » réseau.
Axielles
Sandrine Franchini-Guichard du Réseau Les Prem1ières : « Cela passe par l’éducation. Filles ou garçons, nos enfants doivent comprendre qu’ils ont les mêmes possibilités (…). Le féminisme d’avenir, c’est celui de l’équilibre femmes hommes. »
Agnès Fourcade de Femmes Business Angels : « Les femmes et les hommes ne doivent pas être mis en concurrence car ils sont complémentaires »
Unique réseau de business angels au féminin en France et premier réseau en Europe, Femmes Business Angels réunit plus d’une centaine de femmes qui investissent personnellement dans des start-up à potentiel et les accompagnent afin de les aider à émerger et à se développer. Les investisseuses de FBA s’intéressent aux entreprises innovantes à fort potentiel de tous secteurs, en amorçage ou en développement, dirigées par des hommes ou par des femmes et cherchant à lever entre 100.000 euros et 1 million d’euros.
Mathilde Desjonquères, de Bouge ta Boîte : « Tout commence par l’éducation. Dès la maternelle, un petit garçon qui veut jouer à la dînette est ré-orienté vers les jeux de tracteurs par exemple »
Depuis cet automne 2017, ce nouvel acteur du réseautage business est arrivé dans toute la France. 100% féminin, Bouge ta Boite a vocation à aider les femmes entrepreneures à créer du business, en élargissant leur réseau de relations et en acquérant de nouvelles compétences.
Bougetaboite.com
Article à lire sur FemininBio : Bouge ta Boîte, le réseau des femmes qui pensent business
Céline Parsoud, de Women’Up : » « Pour réussir l’équilibre, il faut réussir à sortir de cette question de genre et considérer les individus »
WoMen’Up, c’est une association 100% mixte créée par et pour les jeunes générations. « Pendant 5 ans, nous avons construit des ponts entre les entreprises, les étudiants et jeunes actifs pour faire évoluer la mixité, la place de la Génération Y et l’entrepreneuriat ». Au programme, colloques, études, rencontres autour de personnalités atypiques, et un webzine depuis 2016.
Network-womenup.com
Goretty Ferreira, de l’Agence pour l’Entreprenariat au Féminin (AEF) : « Le Parlement, c’est pour moi un engagement de solidarité »
L’Agence pour l’entreprenariat féminin encourage une plus grande mixité au niveau économique et sociétal, pour faire face aux enjeux de compétitivité et de performance, en permettant aux femmes d’y prendre la place qui leur revient. La mission de l’AEF est de les accompagner dans leur réussite professionnelle, qu’elles soient porteuses de projet, dirigeantes d’entreprise ou à des fonctions de top management.
Entreprenariat-feminin.com
Cristina Lunghi, de Arborus : « Partager notre expérience de labellisation sur l’égalité entre les femmes et les hommes »
Arborus est une association loi 1901 ayant pour objet la promotion des femmes dans la prise de décision. Elle réunit 350 adhérent.e.s cadres, chefs d’entreprise, créatrices d’entreprises, étudiant.e.s. L’association a été fondée par Cristina Lunghi. L’objectif, changer de système d’organisation de la société à partir de la déspécialisation des rôles sociaux femmes / hommes, de la valorisation des talents féminins en particulier et des différences en général.
Arborus.org
Patricia Chapelotte, de Génération Femmes d’Influence : « Je pense que nous avons besoin de décloisonner nos univers »
En créant ce club, Patricia Chapelotte a voulu rassembler autant des dirigeantes des TPE que des « top managers » de grands groupes, en comptant les femmes de la haute administration. « Toutes partagent le goût de l’action et cette envie de s’épanouir professionnellement. Notre club se veut un véritable laboratoire d’idées et de solutions pratiques pour chacune de ses membres. Cultiver un réseau, faire du business, créer des passerelles ou même simplement partager une expérience, telle est la vocation du club Génération Femmes d’Influence. »
Femmesdinfluence.fr
François Garreau, de Generali : ‘ »L’égalité femmes homme relève d’une action de fond sur laquelle nous nous sommes engagé.e.s »
Responsable de la Mission Responsabilité sociétale des entreprises (RSE) auprès du Comité exécutif depuis sa création en 2008, François Garreau est en charge d’impulser l’intégration de ces problématiques dans les activités de la Compagnie. Intarissable sur les nouveaux défis du monde de l’assurance, il y voit une opportunité de se réinventer. Lisez également son interview sur FemininBio.
Generali.fr
Agathe Savioz, de Force Femmes : « Les femmes de plus de 45 ans subissent une discrimination à l’embauche »
Depuis avril 2014, elle est en charge de la cellule Entreprenariat de l’association Force Femmes et encadre les 170 porteuses de projet en phase de création, ainsi que les 80 bénévoles qui les accompagnent. « Les femmes de plus de 45 ans en font partie, c’est pour cette raison que nous voulons les aider en leur redonnant la chance que nous avons eue. Combattre cette inégalité est un enjeu de liberté, d’égalité et de cohésion sociale », explique-t-on chez Force Femmes.
Forcefemmes.com
Bénédicte Tilloy, de Schoolab : « Le temps est au She for We, c’est-à-dire les femmes, le féminin au service d’un collectif »
Après 27 ans à la SNCF, à des postes de direction générale, Bénédicte Tilloy a rejoint Schoolab en septembre 2017, une structure qui accélère projets innovants d’entreprises et startups depuis 2005, accompagnant chaque année plus de 1.000 étudiants, entrepreneurs et intrapreneurs. « Nous sommes convaincus que l’innovation est un renouvellement permanent et qu’elle passe par un état d’esprit jeune. Regarder avec des yeux neufs, être capable de se défaire de ses habitudes, naviguer dans l’incertain », affirme-t-on, au Schoolab.
Theschoolab.com
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